LinkedIn, c’est un peu comme cette salle de sport dans laquelle vous vous inscrivez en janvier : tout le monde débarque avec de grandes ambitions… mais au bout de quelques semaines, les bonnes résolutions s’évaporent.
Les CEO et dirigeants ne font pas exception.
Ils savent qu’ils doivent être présents sur LinkedIn.
On leur répète partout que le personal branding est crucial, que poster régulièrement va leur apporter visibilité, crédibilité, opportunités… Alors, ils s’y mettent.
Ils rédigent quelques posts, partagent des insights, testent un storytelling inspirant.
Et puis, le calendrier se remplit, les priorités changent, et LinkedIn passe au second plan.
Résultat : des publications irrégulières, un profil qui manque de cohérence, et une perte d’opportunités monumentale.
Le problème ? LinkedIn n’est pas un simple canal de communication. C’est un levier d’influence et de business. Et comme tout levier puissant, il demande une stratégie, une exécution irréprochable et une constance à toute épreuve.
Spoiler : un CEO ne peut pas tout faire lui-même.
👉 Son job, c’est de diriger. Pas d’écrire.
C’est là qu’intervient le ghostwriting LinkedIn : une solution qui permet aux dirigeants de transformer leur présence en ligne en un véritable outil de croissance… sans y passer des heures.
Mais encore faut-il comprendre pourquoi gérer seul son personal branding est une mission quasi-impossible. C’est exactement ce qu’on va voir.
1. Le mythe du CEO « autonome » sur LinkedIn
Si gérer son personal branding sur LinkedIn était aussi simple qu’écrire quelques posts de temps en temps, tous les dirigeants exploseraient leur visibilité sans effort.
Pourtant, la réalité est bien différente :
- 90% des CEO abandonnent après quelques mois.
- Leurs posts n’attirent ni l’engagement, ni les bonnes opportunités.
- Ils finissent par sous-exploiter un outil pourtant puissant pour leur business.
Pourquoi ? Parce que gérer une communication efficace sur LinkedIn demande bien plus que quelques anecdotes et citations inspirantes.
LinkedIn est un marathon, pas un sprint
Ceux qui réussissent sur LinkedIn ont tous une chose en commun : la constance.
Un post viral ne change pas une carrière. C’est la régularité, combinée à une stratégie claire, qui construit une audience et une autorité sur le long terme.
👉 Problème : un CEO n’a ni le temps ni l’énergie pour poster plusieurs fois par semaine.
Entre les réunions, la gestion d’équipe et le développement stratégique, prendre une heure pour rédiger un post de qualité est souvent la dernière priorité. Résultat ? Un rythme de publication irrégulier qui empêche tout impact durable.
Ce que ça donne dans la vraie vie :
- Phase 1 : motivation → Le CEO publie quelques posts avec enthousiasme.
- Phase 2 : manque de temps → Il espace les publications, faute d’inspiration ou de disponibilité.
- Phase 3 : abandon → Il se convainc que « LinkedIn ne marche pas pour lui ».
Le faux espoir du « je vais écrire moi-même »
Certains dirigeants pensent qu’ils peuvent gérer leur communication sans aucune aide. Ils s’imaginent publier quand l’inspiration vient, sans réelle méthode. Mais ça ne fonctionne pas.
Pourquoi ? Parce que la spontanéité ne suffit pas.
Créer du contenu sur LinkedIn demande de la préparation, de la structuration et une logique de progression. Les publications doivent s’inscrire dans une stratégie globale qui suit des objectifs clairs : notoriété, recrutement, génération de leads, prise de parole sur des sujets clés…
👉 Or, un CEO n’a ni le recul ni le temps pour piloter cette stratégie de façon efficace.
LinkedIn ne récompense pas les CEO « fantômes »
Un autre mythe persistant : penser que la simple présence sur LinkedIn suffit à générer de l’impact.
La réalité est brutale :
- Un profil peu actif est quasiment invisible.
- Un contenu sans engagement est pénalisé par l’algorithme.
- Un personal branding incohérent ne crée pas de confiance.
Quelques données clés :
- Un profil actif (posts réguliers + interactions) génère jusqu’à 3x plus d’opportunités business.
- Les posts qui performent le mieux suivent une structure spécifique (accroche, storytelling, appel à l’action).
2. Pourquoi un bon post LinkedIn ne se résume pas à « raconter une anecdote »
On a tous vu ces posts LinkedIn bidons qui commencent par une anecdote touchante, une leçon de vie ou une expérience personnelle.
📌 « En 2015, j’ai failli tout abandonner. Puis, j’ai découvert [insérer un concept] et ma vie a changé. »
📌 « Hier, en discutant avec un client, j’ai réalisé une chose essentielle sur l’entrepreneuriat. »
📌 « Il y a quelques années, j’étais totalement perdu. Aujourd’hui, je dirige une boîte florissante. »
Ces posts marchent parfois.
Mais si tout le monde adopte cette même mécanique, elle perd en impact.
Le problème, c’est que beaucoup de dirigeants pensent qu’un bon personal branding se limite à publier des anecdotes inspirantes. Or, LinkedIn est un outil de positionnement, pas un journal intime.
👉 Un bon post doit aller bien au-delà de la simple narration.
Le « LinkedIn washing » : tout le monde raconte la même histoire
Depuis que le personal branding est devenu tendance, on observe un effet de formatage massif des contenus sur LinkedIn.
Les mêmes structures de posts sont copiées en boucle.
Résultat ? Les dirigeants finissent par tous se ressembler.
Preuve par les chiffres :
- 72% des posts LinkedIn viraux suivent les mêmes structures narratives.
- Les posts sans réelle valeur ajoutée génèrent jusqu’à 40% moins d’interactions sur le long terme.
Ce qui marche vraiment : une approche plus stratégique, avec un mix de storytelling, d’opinions tranchées et de contenu actionnable.
Un post qui convertit est pensé en fonction d’objectifs business
Un bon personal branding ne consiste pas juste à « raconter des choses intéressantes ». Il doit être au service d’une stratégie claire.
Trois types de posts qui performent sur LinkedIn :
✅ Les posts qui démontrent une expertise (ex : insights de marché, analyses pointues).
✅ Les posts qui prennent position (ex : casser une croyance populaire, challenger une idée reçue).
✅ Les posts qui inspirent une action (ex : études de cas, méthodes applicables immédiatement).
Un post efficace ne se contente pas de générer des likes. Il doit déclencher une réaction et un engagement qualifié.
Pourquoi un ghostwriter fait la différence
Un bon ghostwriter LinkedIn ne se contente pas d’écrire de « jolies histoires ».
Il construit une narration cohérente alignée sur les objectifs business du dirigeant.
Le rôle du ghostwriter :
- Définir une ligne éditoriale alignée avec la vision du CEO.
- Varier les formats pour éviter la lassitude et maximiser l’impact.
- Transformer des idées brutes en contenus percutants.
- Optimiser la structure des posts pour l’algorithme LinkedIn.
Exemple : un CEO qui parle innovation
Un dirigeant dans la tech pourrait facilement tomber dans l’écueil des posts génériques du type :
« L’innovation, c’est penser différemment. Regardez Tesla, Apple… ils ont changé la donne. »
Problème : c’est vague, déjà vu et sans valeur réelle.
✅ Un ghostwriter va reformuler pour transformer cette idée en post puissant :
- Ajouter un point de vue unique.
- Intégrer une analyse concrète plutôt qu’une simple inspiration.
- Insérer un call-to-action engageant pour générer des interactions qualifiées.
3. Comment un ghostwriter LinkedIn change la donne
Si un CEO veut exploiter LinkedIn à son plein potentiel, il ne peut pas se contenter de publier sporadiquement et d’espérer des résultats. Il lui faut une présence structurée, régulière et impactante.
C’est exactement là qu’intervient un ghostwriter.
👉 Un CEO n’a pas besoin d’écrire. Il a besoin que son influence soit construite de manière efficace.
Un bon ghostwriter LinkedIn ne se contente pas de rédiger des posts. Il orchestre une stratégie de visibilité et de crédibilité.
De la simple présence à une machine d’influence
Un dirigeant qui publie seul sur LinkedIn se heurte rapidement à des limitations :
- Il manque de temps.
- Il ne sait pas toujours comment structurer ses idées.
- Il a du mal à maintenir la régularité.
- Ses posts ne génèrent pas l’impact attendu.
Un ghostwriter va bien au-delà de la rédaction. Il apporte une méthodologie qui transforme une présence LinkedIn en levier de notoriété et d’acquisition.
Ce qu’un ghostwriter fait réellement :
✅ Définition d’une ligne éditoriale claire : quels sujets ? Quel ton ? Quelle fréquence ?
✅ Construction d’un storytelling d’influence : cohérence dans les prises de parole, alignement avec la vision du CEO.
✅ Optimisation pour l’algorithme LinkedIn : structurer les posts pour maximiser la portée organique.
✅ Déploiement d’une stratégie d’engagement : répondre aux commentaires, interagir avec les bonnes personnes.
✅ Suivi et analyse des performances : ajuster la stratégie en fonction des résultats.
L’effet ghostwriting : des CEO qui passent un cap
Cas typique avant ghostwriting :
- Un CEO publie une fois par mois, sans réelle stratégie.
- Ses posts reçoivent moins de 10 réactions, peu de visibilité.
- Aucun impact concret sur son business.
Cas après ghostwriting :
- Il publie 2 à 3 fois par semaine avec une régularité millimétrée.
- Ses posts deviennent impactants, partagés et commentés.
- Sa notoriété grandit, il attire des opportunités business et des partenaires stratégiques.
Données chiffrées :
- Les CEO qui publient régulièrement avec une approche structurée génèrent jusqu’à 5x plus d’opportunités de business.
- Les posts rédigés avec une approche ghostwriting sont en moyenne 3x plus engageants que les posts spontanés.
Un levier puissant pour la crédibilité et la croissance
Un CEO qui délègue son contenu à un ghostwriter ne devient pas “moins authentique”. Il devient plus impactant.
Les bénéfices immédiats :
✅ Gain de temps : plus besoin de passer des heures à réfléchir et rédiger.
✅ Cohérence : une voix claire, une présence régulière, un branding solide.
✅ Engagement optimisé : un contenu qui attire et génère des interactions qualifiées.
✅ ROI mesurable : plus de visibilité, plus d’opportunités business, plus d’autorité sur son marché.
Un ghostwriter, ce n’est pas juste quelqu’un qui écrit. C’est un stratège d’influence qui sait comment maximiser l’impact d’un dirigeant sur LinkedIn.
4. Mon approche du ghostwriting LinkedIn (et pourquoi elle fonctionne)
Un bon ghostwriting ne se limite pas à aligner des mots bien tournés. Il repose sur une méthodologie claire, une approche stratégique et une exécution rigoureuse.
Mon objectif ? Transformer la présence LinkedIn d’un dirigeant en un levier de notoriété et de business.
Voici comment je procède concrètement.
A. Analyse & Stratégie : construire une présence cohérente
Avant même d’écrire une ligne, je définis une ligne éditoriale alignée avec l’image et les objectifs du CEO.
Chaque dirigeant a un positionnement unique. Mon travail, c’est de le révéler et de l’exploiter au maximum.
Concrètement, ça passe par :
✅ Une analyse du personal branding actuel (forces, faiblesses, opportunités).
✅ Une définition claire des axes de communication (expertise, storytelling, opinions, insights marché).
✅ Une stratégie de contenu cadencée pour maximiser l’engagement et l’impact.
Objectif : ne pas juste publier pour publier, mais raconter une histoire qui positionne le CEO comme un leader d’opinion.
B. Création de contenu : rédiger des posts qui captent et convertissent
Un post LinkedIn réussi ne s’écrit pas au hasard. Il doit accrocher, engager et transmettre un message puissant.
Ma méthode :
🔹 Des accroches irrésistibles → l’objectif est d’arrêter le scroll en moins de 3 secondes.
🔹 Une structure claire et efficace → storytelling, démonstration, opinion tranchée…
🔹 Un ton qui reflète la personnalité du CEO → chaque post doit sonner authentique.
🔹 Un call-to-action pertinent → encourager l’interaction et la discussion.
📌 Exemple :
❌ Post original d’un CEO :
« L’innovation est un levier clé pour les entreprises. Celles qui innovent dominent leur marché. »
✅ Post réécrit en ghostwriting :
« Google a tué 280 projets en 10 ans. Pourquoi ? Parce que l’innovation, ce n’est pas juste une idée géniale, c’est une exécution sans faille. Et c’est là que 90% des boîtes échouent. »
🚀 Résultat ? Plus engageant, plus impactant, plus mémorable.
C. Fréquence & Régularité : créer une dynamique de visibilité
L’erreur de 90% des dirigeants sur LinkedIn ? L’irrégularité.
Un post viral ne sert à rien si l’audience n’est pas nourrie régulièrement.
Ma méthodologie de publication :
✅ 2 à 3 posts par semaine, avec un équilibre entre storytelling, expertise et insights.
✅ Un rythme progressif pour fidéliser l’audience.
✅ Une veille et un ajustement continus en fonction des performances.
Objectif : Ne pas être juste “présent” sur LinkedIn, mais devenir un acteur clé de son écosystème.
D. Suivi & Optimisation : améliorer en continu pour maximiser les résultats
Un personal branding efficace, ce n’est pas juste publier et espérer que ça fonctionne.
C’est analyser les performances et affiner la stratégie en temps réel.
Ce que je mets en place :
✅ Un suivi des posts les plus performants pour identifier ce qui marche.
✅ Une analyse des commentaires et des interactions pour affiner le ton et les thématiques.
✅ Un ajustement régulier pour améliorer l’algorithme LinkedIn et booster la portée organique.
Résultat ? Plus de visibilité, plus d’impact, plus d’opportunités business.
Pourquoi ça fonctionne ?
💡 Parce que cette approche repose sur 4 piliers :
✅ Une stratégie claire et sur-mesure : chaque CEO est unique, sa communication doit l’être aussi.
✅ Une exécution ultra-calibrée : pas de contenu au hasard, tout est optimisé.
✅ Une régularité maîtrisée : la clé pour asseoir une autorité et rester visible.
✅ Un suivi permanent : l’optimisation continue garantit des résultats exponentiels.
En bref : un ghostwriter n’est pas un simple rédacteur, c’est un partenaire de croissance.
tl;dr : LinkedIn n’est pas un hobby, c’est un levier business.
Les CEO qui explosent sur LinkedIn ne sont pas forcément les meilleurs rédacteurs, mais ceux qui ont compris que leur temps est mieux investi ailleurs.
Ce qu’il faut retenir :
❌ Écrire soi-même, c’est une perte de temps et d’impact.
❌ LinkedIn ne récompense pas l’irrégularité ou les posts sans stratégie.
✅ Déléguer à un ghostwriter, c’est transformer un canal sous-exploité en machine d’influence.
✅ Une approche méthodique et un contenu de qualité changent la donne.
Et si vous arrêtiez de publier au hasard pour enfin maximiser votre impact sur LinkedIn ?



